La 5 eme édition de la Corsica Classic vient de s'achever.
Et ce fut une compétition plus que sportive pour ceux qui doutaient de la capacité de ces bateaux à affronter du gros temps.
En effet, les conditions météos que connait la Corse depuis début juillet n'ont pas épargné la course.
Du soleil certes mais aussi du vent fort, de la houle ont un peu contrarié la course, mais l'on aussi rendu plus sportive, plus forte et plus belle.
Et ce fut une compétition plus que sportive pour ceux qui doutaient de la capacité de ces bateaux à affronter du gros temps.
En effet, les conditions météos que connait la Corse depuis début juillet n'ont pas épargné la course.
Du soleil certes mais aussi du vent fort, de la houle ont un peu contrarié la course, mais l'on aussi rendu plus sportive, plus forte et plus belle.
Il ne s'agit pourtant pas de bateaux véritablement prompts à prendre la mer dans des conditions rudes.
Ces vieux gréements centenaires pour certains, sont plus fragiles que les bateaux modernes.
C'est ainsi que le départ officiel de Calvi à été annulé en début de course.
Mais après avoir rejoint Girolata puis Ajaccio, les bateaux ont su "naviguer" dans des conditions allant de la pétole au vent très soutenu, en passant par les brises thermiques et les vents changeant du sud.
La part belle était donnée à l'extrême sud cette année avec plusieurs étapes entre Bonifacio, Porto Vecchio, Santa Giulia et le célèbre hôtel Casadelmare.
Ces vieux gréements centenaires pour certains, sont plus fragiles que les bateaux modernes.
C'est ainsi que le départ officiel de Calvi à été annulé en début de course.
Mais après avoir rejoint Girolata puis Ajaccio, les bateaux ont su "naviguer" dans des conditions allant de la pétole au vent très soutenu, en passant par les brises thermiques et les vents changeant du sud.
La part belle était donnée à l'extrême sud cette année avec plusieurs étapes entre Bonifacio, Porto Vecchio, Santa Giulia et le célèbre hôtel Casadelmare.