Ne reculant devant aucun sacrifice, même celui de son corps et de sa santé, une partie ( et oui , une partie seulement, mais ça se payera) de l'équipe de votre blog corse préféré s'est engagé sur la course de running en corse la plus tendance du moment : le semi marathon de Porto Vecchio.
Après une première édition en 2014 déjà couronnée de succès, l'organisation du sud de l'île est repartie de plus belle avec une édition 2015 encore plus ambitieuse. En plus des 21 km entre le port de Porto Vecchio et Santa Giulia, une épreuve de 10 km était au programme cette année, entre la plage de Palombaggia et celle de Santa Giulia ( excusez du peu !)
Cette deuxième édition permettait donc à un plus grand nombre de sportifs de pouvoir se "confronter" selon ses capacités et de parcourir ensemble la route des plages la plus célèbre de l'île.
Cette deuxième édition permettait donc à un plus grand nombre de sportifs de pouvoir se "confronter" selon ses capacités et de parcourir ensemble la route des plages la plus célèbre de l'île.
Nous avons donc décidé de participer à l'événement. Quand je dis nous, j'intègre l'aide précieuse de François Xavier (FX) qui a décidé de courir 21 km et de nous raconter son aventure (lire ci dessous), me permettant de ne faire que 10 km car il fallait bien quelqu'un pour tester ce parcours (ahh l'esprit de sacrifice).
Inscriptions validées, certificats médicaux en poche, nous voila à Porto Vecchio, en ce dimanche matin, assez tôt pour voir le soleil sortir et réchauffer le port de commerce où se déroule les opérations.
Première surprise très agréable : certes il y a foule, mais cela est fluide, calme et très bon enfant. Tout le monde est là pour profiter de paysage, de la Corse, des plages et du soleil d'automne.
Deuxième constat, encore plus agréable : les tenues colorées ( voir très colorées) des maillots de runner témoignent de leur région d'origine. Et elles sont TRÈS variées. Quel plaisir de voir des gens du nord, des bretons, des varois, des parisiens, des lyonnais etc ( pardon pour ceux que l'on oublie) mais aussi des belges, des allemands, des suisses etc...s'être donnés rendez vous ici, pour partager ce moment ensemble.
Je monte donc dans le car du #10km, retrouvant certains visages connus comme Marie Paule, la directrice du site Corsica Sport Travel, venue participer à un événement que l'on peut bien sûr réserver sur son site dédié aux voyages compétition en Corse (nous en reparlerons un de ces jours). J'abandonne donc FX à son #semi et aux dénivelés effrayants.
Inscriptions validées, certificats médicaux en poche, nous voila à Porto Vecchio, en ce dimanche matin, assez tôt pour voir le soleil sortir et réchauffer le port de commerce où se déroule les opérations.
Première surprise très agréable : certes il y a foule, mais cela est fluide, calme et très bon enfant. Tout le monde est là pour profiter de paysage, de la Corse, des plages et du soleil d'automne.
Deuxième constat, encore plus agréable : les tenues colorées ( voir très colorées) des maillots de runner témoignent de leur région d'origine. Et elles sont TRÈS variées. Quel plaisir de voir des gens du nord, des bretons, des varois, des parisiens, des lyonnais etc ( pardon pour ceux que l'on oublie) mais aussi des belges, des allemands, des suisses etc...s'être donnés rendez vous ici, pour partager ce moment ensemble.
A ce moment là, je reprend forcément ma casquette de "pro du etourisme" pour constater avec plaisir que la Corse possède un pouvoir d'attraction incroyable pour cette clientèle plutôt CSP +, ayant choisi pour la plus part de prendre 3 ou 4 jours, voir la semaine de vacances pour venir courir en couple ou en groupe et profiter de la Corse hors saison. Les hôtels et restaurants de Porto Vecchio et du sud de l'ile ne peuvent que se féliciter d'une telle promotion.Troisième constat positif, l'organisation du matin est plutôt cool, avec des bus qui attendent les #10km pour faire la liaison depuis le port vers le départ de Palombaggia, des vans pour les bagages et des conseils des locaux vers les novices.
Je monte donc dans le car du #10km, retrouvant certains visages connus comme Marie Paule, la directrice du site Corsica Sport Travel, venue participer à un événement que l'on peut bien sûr réserver sur son site dédié aux voyages compétition en Corse (nous en reparlerons un de ces jours). J'abandonne donc FX à son #semi et aux dénivelés effrayants.
10 km, départ de Palombaggia
Le #10km est donc la grande nouveauté de l'édition 2015.
Il est aussi le bon moyen pour beaucoup de personnes de participer à cet événement et accompagner un conjoint inscrit sur le semi, sans être obligé d'attendre à l'arrivée sans rien faire.
270 inscrits sont donc présents ce dimanche matin, à 8h45 sous les pins des parkings déserts de Palombaggia.
270 personnes qui vont batailler dur contre une armada de moustiques ravis de l'offrande. Mais à part cette toute petite gêne, occasionnant des scènes cocasses de "claques" permanentes, tout le monde est prêt à en découdre en commençant par ce que l'on pense être la seule "petit côte" du parcours, permettant d'aller de la plage à la route.
9h15, attente du speaker officiel pour un départ simultané du #10km et du #semi, et c'est parti.
Je pars sans objectif précis, il s'agit là de ma première vraie course chronométrée. Disons que passer sous l'heure serait un minimum.
La première montée se fait à l'ombre, avec d'entrée de jeu un départ très rapide des futurs vainqueurs. Le groupe s'étire déjà, ce qui permet de passer pas mal de concurrents dès ce premier kilomètre, afin d'éviter de se retrouver dans un groupe au faux rythme.
Le premier km se termine par un beau virage à gauche sur la route menant à Santa Giulia. Et voila le soleil, les températures montent et les jambes tirent.
Car cette route ne va jamais être plate ! Jamais !
Il faut en permanence relancer la machine entre montées courtes mais sèches et descentes tout aussi raides.
Les petits groupes de coureurs se forment, en fonction des rythmes de chacun. Mais on voit aussi des coureurs reprendre des positions à grandes foulées ou d'autres se laisser décrocher, sans doute partis trop vite ou surpris par les raidillons.
Au bout de 3 km, un premier stand permet de se rafraîchir (distribution d'éponges) car il fait déjà chaud.
Le paysage est superbe, les 3 plages de Palombaggia s'égrainent à gauche au fur et à mesure que l'on avance. C'est un plaisir de courir dans un tel cadre. Est ce que cela aide ? par sûr, mais ça ne fait pas de mal d'être heureux du paysage non ?
Au bout de 5 km, ravitaillement en eau et glycémie ( 1/4 d'orange et pruneau). A noter la jolie opération concernant les bouteilles d'eau Zilia (partenaire du semi ) " je bois, je vise" permettant de ne pas laisser les bouteilles d'eau n'importe où mais plutôt dans les poubelles mises en place sur le parcours.
Au 7 eme kilomètre, la succession de montées et descentes commence à faire un massacre. Même en sentant l'écurie proche, les kilomètres semblent de plus en plus long. Connaissant un peu les lieux, je sais que l'on est proche de la fin mais qu'il reste deux côtes qui vont faire mal. Mais même en sachant cela, l'anticipation n'aidera pas tant que ça.
Que dire du passage de Bocca del Oro qui ne m'a jamais semblé aussi long. La montée n'en finie plus. C'est le 9 eme km, tout le monde sait que cela va descendre après mais il faut en finir avec cette montée interminable.
La descente finale arrive enfin avec une vue incroyable sur la baie de Santa Giulia inondée de soleil. Mais il faut continuer à courir, vite, dans la descente en évitant les pièges de la route que sont les dos d'âne et les racines des pins. Et ça descend très vite. Je suis impressionné par l'aisance de certain(e)s dans cet exercice !
L'arrivée est enfin là, avec beaucoup de monde, du bruit, des couleurs, des sympathiques spectateurs qui vous encouragent pour les derniers mètres....et voila la ligne franchie.
En plus de la photo cellules, les chronométreurs "flash" les dossards, de jeunes gens nous accueillent avec une petite médaille de "finisher" mais l'important n'est pas là.
La sensation d'avoir passer un super moment dans un cadre magique prend le dessus sur les jambes qui tirent un peu et les mollets qui te rappellent très vite que tu n'es pas un pro de la chose !
Le temps : 0 h 54 ' 47 '' bien au delà de mes espérances mais bien au delà aussi des 36 minutes du vainqueur ou des 40 à 50 minutes des 60 personnes arrivées avant moi.
Mais franchement peu importe, je suis content d'être là, de retrouver des visages amis, de profiter des fruits frais de l'arrivée et d'accueillir les vainqueurs du semi, incroyable de vitesse (1h09 pour le kenyan vainqueur) . Reste à attendre FX pour son temps sur les 21 km qui d'un coup me paraissent impossible à faire.
Seul bémol (car il faut en trouver un), la gestion des retours de coureurs depuis Santa Giulia vers le port aurait nécessité plus de communication pour éviter le petit couac final et l'énervement stérile de certains coureurs.
En conclusion personnelle : prêt à le refaire l'an prochain, c'est vous dire si on a aimé se faire mal.
Il est aussi le bon moyen pour beaucoup de personnes de participer à cet événement et accompagner un conjoint inscrit sur le semi, sans être obligé d'attendre à l'arrivée sans rien faire.
270 inscrits sont donc présents ce dimanche matin, à 8h45 sous les pins des parkings déserts de Palombaggia.
270 personnes qui vont batailler dur contre une armada de moustiques ravis de l'offrande. Mais à part cette toute petite gêne, occasionnant des scènes cocasses de "claques" permanentes, tout le monde est prêt à en découdre en commençant par ce que l'on pense être la seule "petit côte" du parcours, permettant d'aller de la plage à la route.
9h15, attente du speaker officiel pour un départ simultané du #10km et du #semi, et c'est parti.
Je pars sans objectif précis, il s'agit là de ma première vraie course chronométrée. Disons que passer sous l'heure serait un minimum.
La première montée se fait à l'ombre, avec d'entrée de jeu un départ très rapide des futurs vainqueurs. Le groupe s'étire déjà, ce qui permet de passer pas mal de concurrents dès ce premier kilomètre, afin d'éviter de se retrouver dans un groupe au faux rythme.
Le premier km se termine par un beau virage à gauche sur la route menant à Santa Giulia. Et voila le soleil, les températures montent et les jambes tirent.
Car cette route ne va jamais être plate ! Jamais !
Il faut en permanence relancer la machine entre montées courtes mais sèches et descentes tout aussi raides.
Les petits groupes de coureurs se forment, en fonction des rythmes de chacun. Mais on voit aussi des coureurs reprendre des positions à grandes foulées ou d'autres se laisser décrocher, sans doute partis trop vite ou surpris par les raidillons.
Au bout de 3 km, un premier stand permet de se rafraîchir (distribution d'éponges) car il fait déjà chaud.
Le paysage est superbe, les 3 plages de Palombaggia s'égrainent à gauche au fur et à mesure que l'on avance. C'est un plaisir de courir dans un tel cadre. Est ce que cela aide ? par sûr, mais ça ne fait pas de mal d'être heureux du paysage non ?
Au bout de 5 km, ravitaillement en eau et glycémie ( 1/4 d'orange et pruneau). A noter la jolie opération concernant les bouteilles d'eau Zilia (partenaire du semi ) " je bois, je vise" permettant de ne pas laisser les bouteilles d'eau n'importe où mais plutôt dans les poubelles mises en place sur le parcours.
Au 7 eme kilomètre, la succession de montées et descentes commence à faire un massacre. Même en sentant l'écurie proche, les kilomètres semblent de plus en plus long. Connaissant un peu les lieux, je sais que l'on est proche de la fin mais qu'il reste deux côtes qui vont faire mal. Mais même en sachant cela, l'anticipation n'aidera pas tant que ça.
Que dire du passage de Bocca del Oro qui ne m'a jamais semblé aussi long. La montée n'en finie plus. C'est le 9 eme km, tout le monde sait que cela va descendre après mais il faut en finir avec cette montée interminable.
La descente finale arrive enfin avec une vue incroyable sur la baie de Santa Giulia inondée de soleil. Mais il faut continuer à courir, vite, dans la descente en évitant les pièges de la route que sont les dos d'âne et les racines des pins. Et ça descend très vite. Je suis impressionné par l'aisance de certain(e)s dans cet exercice !
L'arrivée est enfin là, avec beaucoup de monde, du bruit, des couleurs, des sympathiques spectateurs qui vous encouragent pour les derniers mètres....et voila la ligne franchie.
En plus de la photo cellules, les chronométreurs "flash" les dossards, de jeunes gens nous accueillent avec une petite médaille de "finisher" mais l'important n'est pas là.
La sensation d'avoir passer un super moment dans un cadre magique prend le dessus sur les jambes qui tirent un peu et les mollets qui te rappellent très vite que tu n'es pas un pro de la chose !
Le temps : 0 h 54 ' 47 '' bien au delà de mes espérances mais bien au delà aussi des 36 minutes du vainqueur ou des 40 à 50 minutes des 60 personnes arrivées avant moi.
Mais franchement peu importe, je suis content d'être là, de retrouver des visages amis, de profiter des fruits frais de l'arrivée et d'accueillir les vainqueurs du semi, incroyable de vitesse (1h09 pour le kenyan vainqueur) . Reste à attendre FX pour son temps sur les 21 km qui d'un coup me paraissent impossible à faire.
Seul bémol (car il faut en trouver un), la gestion des retours de coureurs depuis Santa Giulia vers le port aurait nécessité plus de communication pour éviter le petit couac final et l'énervement stérile de certains coureurs.
En conclusion personnelle : prêt à le refaire l'an prochain, c'est vous dire si on a aimé se faire mal.
Semi Marathon de Porto Vecchio à Santa Giulia ( by FX)
C'était la deuxième édition du Semi Marathon de Porto Vecchio. La température cette année était parfaite pour ce type de course. 17 degrés au départ, avec un ciel dégagé, l'idéal pour prendre du plaisir.
J'étais donc avec plus de 500 coureurs sur le port de commerce de Porto Vecchio pour le départ donné par Miss Corse 2015.
Pas de coureurs d'allure cette année (hormis un gentil coureur avec l'oriflamme 2h15), donc je suis partis assez rapidement pour essayer de garder une bon rythme sur toute la course.
Après 6 kilomètres, le premier ravitaillement, je me trouve avec un petit groupe sympathique, le rythme est élevé pour moi mais j'entame la première difficulté avec confiance et encore de l'énergie dans les jambes.
La montée est longue mais roulante, certains coureurs plus habitués aux terrains plats marchent sur les derniers hectomètres un peu plus durs pour se préserver et tout le monde profite au sommet de la vue incroyable vers Piccovaggia.
A la mi-course, les jambes commencent à durcir, l’enchaînement de montées très raides et de descentes rapides ne laissent pas beaucoup de place à la récupération. Comme l'année dernière je me fais dépasser allègrement dans les descentes et je reviens dans les montées. Au deux tiers de la course je me sens toujours pas trop mal, j'arrive à garder un rythme plus ou moins régulier malgré les montagnes russes.
Je prend bien tous les ravitaillements et j'essaye de jeter ma bouteille dans les containers mis à disposition.
C'est également plaisant de voir les quelques spectateurs sur le bord de la route qui encouragent tous les coureurs à se finir, ils m'aident à faire le décompte du nombre de côtes qu'il me reste à gravir avant de plonger sur Santa Giulia.
Quand je passe au 20K, je sais qu'il ne me reste que la descente vers Santa Giulia à faire, donc je relâche totalement, et je profite pour faire tourner les jambes. On se dirait dans une arrivée du Tour de France, il y a les barrières sur les cotés avec les spectateurs qui applaudissent, et la voix du speaker officiel qui égraine les arrivées.
Malgré la fatigue et les cuisses qui font mal, je me détend et je prend du plaisir sur les derniers 250 mètres pour apprécier la vue et le moment présent.
Au final j'améliore mon temps de l'année dernière de plus de 10 minutes. Je ne suis pas trop fatigué, les runs d’entraînements ont portés leurs fruits.
L'organisation était encore une fois très bien rodée, les bénévoles gentils et disponibles et l'ambiance entre coureurs comme souvent cordiale et propice à la motivation plutôt que la compétition.
Loin de Duncan Keptanui (vainqueur en 1:09), je finis donc le Semi Marathon de Porto Vecchio pour la seconde fois en 1:45:33 et je me suis battu comme des centaines d'autres participants contre moi même et ma capacité à gérer mon corps durant 21 K.
J'étais donc avec plus de 500 coureurs sur le port de commerce de Porto Vecchio pour le départ donné par Miss Corse 2015.
Pas de coureurs d'allure cette année (hormis un gentil coureur avec l'oriflamme 2h15), donc je suis partis assez rapidement pour essayer de garder une bon rythme sur toute la course.
Après 6 kilomètres, le premier ravitaillement, je me trouve avec un petit groupe sympathique, le rythme est élevé pour moi mais j'entame la première difficulté avec confiance et encore de l'énergie dans les jambes.
La montée est longue mais roulante, certains coureurs plus habitués aux terrains plats marchent sur les derniers hectomètres un peu plus durs pour se préserver et tout le monde profite au sommet de la vue incroyable vers Piccovaggia.
A la mi-course, les jambes commencent à durcir, l’enchaînement de montées très raides et de descentes rapides ne laissent pas beaucoup de place à la récupération. Comme l'année dernière je me fais dépasser allègrement dans les descentes et je reviens dans les montées. Au deux tiers de la course je me sens toujours pas trop mal, j'arrive à garder un rythme plus ou moins régulier malgré les montagnes russes.
Je prend bien tous les ravitaillements et j'essaye de jeter ma bouteille dans les containers mis à disposition.
C'est également plaisant de voir les quelques spectateurs sur le bord de la route qui encouragent tous les coureurs à se finir, ils m'aident à faire le décompte du nombre de côtes qu'il me reste à gravir avant de plonger sur Santa Giulia.
Quand je passe au 20K, je sais qu'il ne me reste que la descente vers Santa Giulia à faire, donc je relâche totalement, et je profite pour faire tourner les jambes. On se dirait dans une arrivée du Tour de France, il y a les barrières sur les cotés avec les spectateurs qui applaudissent, et la voix du speaker officiel qui égraine les arrivées.
Malgré la fatigue et les cuisses qui font mal, je me détend et je prend du plaisir sur les derniers 250 mètres pour apprécier la vue et le moment présent.
Au final j'améliore mon temps de l'année dernière de plus de 10 minutes. Je ne suis pas trop fatigué, les runs d’entraînements ont portés leurs fruits.
L'organisation était encore une fois très bien rodée, les bénévoles gentils et disponibles et l'ambiance entre coureurs comme souvent cordiale et propice à la motivation plutôt que la compétition.
Loin de Duncan Keptanui (vainqueur en 1:09), je finis donc le Semi Marathon de Porto Vecchio pour la seconde fois en 1:45:33 et je me suis battu comme des centaines d'autres participants contre moi même et ma capacité à gérer mon corps durant 21 K.
En conclusion
Une belle épreuve qui donne forcément envie de continuer à améliorer ses temps pour l'un et s'essayer sur la distance reine pour l'autre. C'est donc un rendez vous que nous prenons, et nous serions vraiment heureux d'y retrouver d'autres lecteurs de Corsicamore pour courir ensemble, au moins quelques mètres.